L’Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance a présenté sa nouvelle identité visuelle, à la hauteur de son ambition : faire rayonner la France à l’international par le sport de haut niveau en véhiculant ses valeurs de performance et d’excellence.
Auparavant, le logo jouait sur deux couleurs, le doré pour la signature et le bleu pour le nom de marque. La signature, « Terre de Champions » était soulignée, accentuant son impact et facilitant sa lecture. La typographie était linéaire aux traits arrondis, son empattement lui apportait de la stabilité.
Mais ce logo n’était pas à la hauteur des ambitions de marque de l’INSEP.
Le nouveau a retiré la signature : sachant la dimension internationale des projets à venir (entre autres les J.O. de 2024 à Paris), le logo doit être compréhensible et une signature écrite en français n’aurait pas permis cela. La nouvelle typographie n’a pas d’empattement, lui donnant un côté plus aérien. Surplombant le logo en son centre, un coq aux traits minimalistes a été réalisé, signe allégorique de la France. Sa crête, dorée, semble d’ailleurs être en mouvement, penchée du côté gauche comme si le coq lui-même se déplaçait. Par ailleurs, le doré n’est pas sans rappeler l’or des médailles, signe ultime d’excellence. Pour contraster avec cette touche d’or, la création s’est tournée vers un bleu profond, élégant et bien sûr en rapport avec la couleur emblématique française.
Le logo est construit selon un lettrage évoquant astucieusement un podium : au point culminant de la construction typographique, soit la première marche du podium, se trouve le coq à la crête dorée… Serait-ce une touche de défi à destination de tous les autres concurrents ? Un signe que nous serons les premiers ? En tout cas de l’audace, sûr !
Un petit côté vintage, université américaine, coq sportif … je vois bien ce logo sur un sweat à capuche épais.
Mince, je vois la mèche de Trump… Comme si le coq tournait la tête vers l’arrière.
Peut-être que l’évocation légère d’un petit bec pour le coq rectifierait cela !
C’est plus un coq