Le National Maritime Museum (NMN) est l’un des plus grand musées du monde dans le secteur maritime. Il rassemble trois sites. L’ensemble des identités visuelles ont été revues afin d’offrir un grand splash à ses visiteurs !
Le National Maritime Museum a été fondé en 1937. Il est situé à Greenwich, en Angleterre. Deux autres sites le constitue, le Royal Observatory and le Queen’s House. Ci-dessous les anciennes versions des logos :
L’agence SomeOne, qui a réalisé il y’a peu de temps l’identité visuelle d’Eurostar, explique :
» Nous voulions faire un aussi grand « splash » que possible pour le Musée. Nous avons décidé de créer une image du 21ème siècle entièrement retranscrite en CGI. Ce qui donnerait l’occasion d’animer tout en lumière un véritable monde flexible capable d’évoluer et de s’adapter dans le temps. »
Chacun des trois sites a son propre code colorimétrique : bleu pour le Musée Maritime, de l’or pour la Maison de la Reine et le pourpre, symbole royal, pour l’Observatoire Royal. Chacun peut alors y voir ce qu’il veut. La première chose qui ressort à l’œil est une couronne, d’autres disent y voir un navire ou encore une constellation.
David Law, co-fondateur de SomeOne, explique qu’il s’est appuyé sur le concept des formes aperçues par notre œil et analysées par notre imagination dans les nuages dans son processus de création.
Cette identité visuelle connaît une évolution graphique très forte. Qui plus est, elle est mise à disposition « publique » dans le but de participer à son évolution. Il est rare d’avoir un logotype vivant, non figé. La forme globale n’est plus la même, l’emblème de l’eau est très fort, la typographie en capitale gagne des empattements et enfin, un bloc couleur noir est apposé à la marque. Le National Maritime Museum nous offre une identité très forte au concept novateur.
Cependant, peut-on réellement qualifier cette dernière comme étant un logotype ?
Consulter les actus des logos dans le domaine culturel.
Oh, j’ai appris le mot récemment : c’est de la pareidolie !
J’aime beaucoup les formes, elles sont souples. Je suis encore amateure dans le domaine, donc je demande : pourquoi ne pourrait-on pas qualifier cette identité visuelle comme un logotype ?