Depuis le 5 Mai 2011, Le Nouvel Observateur a lancé une nouvelle version en kiosque.
Le Nouvel Observateur, créé en 1950, s’appelle initialement L’observateur politique, économique et littéraire. Il est fondé avec l’aide d’anciens résistants dont Gilles Martinet de l’AFP, Roger Stéphane, Claude Bourdet, Hector de Galard et avec la collaboration de Jean Paul Sartre.
En 1953 le journal devient L’observateur aujourd’hui, et en 1954, France Observateur. C’est en 1964 qu’il devient Le Nouvel Observateur. Le journal a toujours gardé sa sensibilité de gauche et est représentatif de l’évolution des mœurs.
Depuis Juin 2010 c’est l’ancien directeur artistique de Télérama qui vient y exercer ses fonctions.
Concernant, le relooking de l’hebdomadaire son identité visuelle évolue. L’essentiel du changement se fait sur la typographie et les couleurs. « Le » reprend sa majuscule, le bleu s’évade du logo au profit de rouge et de noir. Le « r » et le « v » d’Observateur reste attaché. La typographie Archer vient de la fonderie Hoefler & Frere-Jones. « Le nouvel » est dégraissé. .
L’offre éditoriale s’enrichit de deux dossiers, le premier sera consacré à l’actualité « brulante », le second pensé comme un magazine de mode. La maquette est repensée, la mise en page est plus fluide, les iconographies renouvelées. Les rédactions du Net et de l’hebdo fusionnent afin d’offrir une diffusion simultanée sur les différents médias. Le développement numérique de l’hebdo se signe également sur les BlackBerry, Android et différentes tablettes. Entre 2009 et 2010 le magazine affiche
plus de 2 350 000 lecteurs.
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