Initiée avec la signature « Réalisateur de rêves », la stratégie de la célèbre marque de coffret cadeau se rapproche de plus en plus des hommes en déployant un univers personnalisé et onirique. Un travail affiné du territoire de marque qui se poursuit dans une nouvelle identité visuelle.
La typographie manuscrite utilisée pour la signature a ainsi basculée sur le logotype. Accompagnant l’arrivée de la nouvelle collection sous forme de thématiques, elle réaffirme la diversité et la personnalisation des produits. Le système graphique décline ce style manuscrit en habillant les photographies d’illustrations. Les livrets des coffrets sont également parsemés de citations des utilisateurs. Les outils de la marque donnent ainsi une place d’importance aux visuels et aux hommes pour replacer l’émotion et l’onirisme au cœur de la marque. Un territoire qu’elle continue d’incarner dans son logotype avec l’étoile. Placée à la fin du nom de marque, elle devient une signature iconique plus qu’un agrément visuel. La signature est toujours présente mais le rapport de sérieux s’est inversé. A une identité personnalisée et aérienne, s’associe une signature en capitales qui affirme et pose la promesse de la marque. Un rééquilibrage qui fait de Wonderbox une marque plus aspirationnelle et mieux incarnée.
Dommage néanmoins que la typographie manuscrite ne soit pas plus généreuse et élégante. Rappelant un mot écrit à la va-vite, elle dessert l’image haut de gamme de la marque et fait des wonderbox un cadeau offert dans l’urgence, quand on manque de temps et d’idée…
Hum… rien de bien neuf sous le soleil. Un bon train de retard sur la tendance ‘lettering’, avec d’ailleurs un choix typographique douteux et une association de fontes hasardeuses. Et on passera sous silence le design des packs dont l’iconographie fait tout… sauf rêver.
Un petit côté hollywoodien bien sympa…