Un reportage d’Arte explique comment la famille de polices Letraset est devenu, dès les années 70, emblématique du Punk. Elle figure sur les pochettes et autres journaux de tous les grands noms du mouvement grâce aux polices décalcables et est ainsi devenue le symbole d’une police démocratique et politique.
En effet, cet outil typographique, sur lequel reviennent Malcolm Garrett, créateur du logo des Buzzcocks, et Daniel Miller, fondateur du label Mute Records, permettait une grande flexibilité et une aisance aux musiciens et autres créas fauchés du milieu. Facile et bon marché, le Letraset incarnait la simplicité et la spontanéité dans la création ; deux valeurs chères à ce mouvement artistique en quête d’une musique contestataire sans virtuosité ni ostentation.
A découvrir sur Arte, le reportage de 5min sur le sujet.