Changements de logos

Space Jam : la suite façon Lebron

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Un peu de détente…

Abandonnons pendant quelques instants la crise sanitaire et les mauvaises nouvelles, pour nous intéresser à des sujets plus agréables, tels que les Looney Tunes et le basket !

Vive les crossovers !

C’est en 1996 que le légendaire Michael Jordan s’associe avec la Warnes Bros pour faire un crossover particulier : mêler des images d’animation avec de véritables humains. Avec le succès de « Qui veut la peau de Roger Rabbit ? » usant déjà de cet artifice, la compagnie de production aura mis 8 ans pour réutiliser le concept.

25 ans plus tard, Lebron James reprend le flambeau et se lance dans un nouvel opus : « Space Jam : A new legacy« , accompagné d’un nouveau logo pour moderniser le tout.

Vive la 3D !

Et pour faire moderne, il fait moderne ! Alors que la mode est au Flat Design et que de nombreuses marques aplatissent leur logo, celui de Space Jam sort tout droit du fin fond d’un univers tridimensionnelle.

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme

Les codes du premier film sont réutilisés au travers d’un « nouvel héritage ». Le célèbre cercle des Looney Tunes est de nouveau présent, à l’horizontal comme le populaire anneau du panier basket. Entre néons et soucoupes volantes, noir abyssal, l’impression d’être aux confins de l’espace se confirme.

La Typographie subit quelques modifications. Premièrement, son allongement afin de traverser l’anneau (à l’instar du ballon de basket lors d’un parfait Switch). Secondement, dans sa structure avec un affinement du corps, tout en conservant un arrondi à l’exception du « J » et du « E corrompues par des angles. Cette évolution typographique structure davantage le logo, à l’aspect plus compacte tel un cube. Le rendu semble moins évasif, plus contrôlé, donc plus impactant. Le vert s’assombrit pour laisser place à un bleu plus spatial. L’orange, le violet et les nuances de bleu s’associent pour plonger le spectateur dans un univers sans profondément galactique. La typographie, l’allongement du titre et l’utilisation des néons contrebalancent l’aspect moderne et futuriste avec un aspect absurde. Autrement dit, un « décalage bien structuré ».

Ça brille de partout, c’est mystérieux, ça donne envie, bref une modernisation de logo plutôt réussite selon nous. Si pour les fans, c’est une véritable aubaine, pour d’autres, ce n’est qu’une excuse de plus pour faire un maximum de fric. Alors hommage ou opportunisme ? Sûrement les deux.

 

 

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